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Dameuse hybride

Val Thorens a été, l’hiver dernier, une des premières stations françaises à intégrer dans son parc un PistenBully 600 E+. Après une saison d’utilisation, la station savoyarde a renouvelé sa confiance à Kässbohrer et a commandé une seconde machine pour son service des pistes. Satisfaction totale !

Un engagement significatif en matière de technologie durable
«La décision d’intégrer une seconde machine de nouvelle génération est en totale adéquation avec la démarche environnementale que nous menons et notre charte QSE, précise Denis Chapuis, adjoint technique et responsable achats de la SETAM, exploitant de la station. Le PistenBully 600 E+ se positionne comme une nouvelle référence en matière de technologie durable et une réponse concrète à nos préoccupations économiques et écologiques. Il permet une économie en termes de carburant de l’ordre de 20 à 30% et une réduction importante des rejets de CO2 et d’azote dans l’atmosphère. Les risques de fuites et de pollution sont également réduits car il n’y a plus de système hydraulique haute pression embarqué dans la machine.»

Une démarche concertée
Le service des pistes de la station, utilisateur au quotidien de la machine, et la SETAM qui a commandé la machine, ont validé d’un commun accord la décision de ce nouvel investissement. «La première machine a donné entière satisfaction et les retours des chauffeurs sont unanimes, indique Denis Chapuis : elle est très performante, confortable, particulièrement souple d’utilisation et elle assume parfaitement ses fonctions. Elle est également moins bruyante et les vibrations ont été nettement réduites.»

Une dameuse du futur pour la meilleure station de ski du monde
Val Thorens, qui vient de remporter pour la seconde année consécutive les titres de «Meilleure station de ski du monde et meilleure station de ski de France», dispose d’un parc de 13 engins de damage renouvelé au rythme de 3 à 4 machines par an. Les dameuses sont conservées en moyenne 4 ans. Le PistenBully 600 E+ sera quant à lui amorti sur 5 ans ce qui permettra de lisser le surcout de la machine à l’achat. «A moyen terme, il est évident que ce type de motorisation remplacera les machines hydrostatiques tant pour des raisons environnementales que de performance, conclut Denis Chapuis. La seule question qui demeure c’est : pourquoi n’a-t-on pas fait cela plus tôt !»

Informations : 04 79 10 46 12 - mail : info@pistenbully.fr